On avait du mal a distinguer ou l'on metter les pieds. Rames, les oreille aux aguets, n'était pas rassuré. Il regarder, droit devant lui, au loin et tourner la tete a chaque bruit, pres a reagir. Je trebucha contre une pierre et tomba. Ramses fit un ecart et m'evita de justesse. Je me releva, heuresement rien de mal. J'arriva enfin a l'entrer du pré, que j'avais apercut grace aux petites lumieres installées autour des barrieres qui s'allumaient qu'en on passait. Je chercha a taton la poingnée et m'electrisa avec le fil ... comme je suis douéée moi .... Je repoussa les autres chevaux que je vit arriver au petit trot vers Rames, qui était entousiamsme a l'idee de retrouver ses amis. J'entra et referma la porte avec bien du mal, car Ramses essayer de m'embarquer, pour rejoindre les siens. J'avanca un peu dans le pré et detacha le petit laquets de son licole pour enlevé les barres de trou. Je le fit glisser lentement le long de sa tete. Des que Ramses sentis qu'il n'avait plus rien, il partit comme un fou, au galop. Je le regarde s'eloigné dans la penombre, et qu'en je ne disingue plus que la masse d'ombre du petit groupe, je fait demi tour. Mais la malheur, je suis vraiment malchanseuse. Je met mon pied dans un trou, et badaboum, me revoila par terre. Je m'aassoit. Ma cheville et sans doute tordu car j'ai du mal a me relver. Mais je peux qu'en meme la bougée, alors rien de casser. Voila au moin la chose positive. Je sors du pré et rentre au ecuries avec bien du mal, dans la nuit.